Entwicklung der Energiewirtschaft in der Glasindustrie

Abstract

Die energiewirtschaftliche Entwicklung in der deutschen Glasindustrie wird an Hand der Daten des Statistischen Bundesamtes von 1955 an aufgezeigt. Es gelang der Glasindustrie, den spezifischen Energieverbrauch bis zum Jahre 1981 von 35,5 auf 13,7 MJ/kg Glas zu senken. Die Energieträger Gas und Öl entsprechen den modernen Technologien der Glasherstellung, die den Einsatz von Kohle nicht erlauben. Weitere Energieeinsparungen sind insbesondere durch Verbesserungen in der Abwärmenutzung zu erwarten. Eine vom Bundesverband Glasindustrie und Mineralfaserindustrie e. V. für die Jahre 1979, 1980 und 1981 aufgestellte Energiestatistik ermöglicht die Aufschlüsselung des Energieverbrauches auf die Unternehmensbereiche mit etwa 90 % für Schmelze und Verarbeitung, etwa 7 % für Hilfsbetriebe und etwa 3 % für Nebenbetriebe. Evolution of energy consumption in the glass industry The evolution of energy consumption by the German glass industry since 1955 is shown by using statistical data from the Federal Government. The specific energy consumption improved from 35,5 to 13,7 MJ/kg glass by 1981. Modern glass manufacturing technology relies on gas and oil as energy sources, coal is not used. Further energy savings may be expected particularly through improved waste heat utilization. Statistics from the Joint Organization of the glass and mineral fibre Industries for 1979, 1980 and 1981 make possible division of the energy consumption into about 90 % for melting and working, about 7 % for auxiliary Operations and about 3 % for secondary purposes. Développement de l'énergetique dans l'industrie verrière Le développement de l'énergétique dans l'industrie verrière allemande est présente à l'aide des données du Bureau Fédéral de la Statistique depuis 1955. L'industrie verrière a réussi à faire baisser sa consommation énergétique spécifique jusqu'en 1981 de 35,5 à 13,7 MJ/kg de verre. Les porteurs d'énergie tels que le gaz et le pétrole satisfont aux technologies modernes de fabrication du verre, ce que ne permet pas le charbon. Des économies d'énergie supplémentaires sont attendues, en particulier grâce aux améliorations apportées dans l'utilisation de la chaleur perdue. Une statistique établie par l'Union Fédérale de l'Industrie Verrière et de l'Industrie des Fibres Minérales pour 1979, 1980 et 1981, rend possible la répartition (approximative), par poste, de la consommation énergétique dans les entreprises, à savoir: 90 % pour la fusion et la transformation, 7 % pour les activités auxiliaires et 3 % pour les activités annexes.